1er avril 2010 (Avril 1) Livres illustrés de cuisine PETITES LEÇONS POUR GRANDE
CUISINE Julie Andrieu & Michel Guérard Photographies d'Isabelle Rozenbaum et
Jean-Blaise Hall Reliure souple 190 x 250 mm 150 photographies 200 pages 25 ?
Pendant deux ans, Michel Guérard a donné des « petites leçons de grande
cuisine » à Julie Andrieu dans Version Fémina. Cité par ses pairs en référence
absolue (Ferran Adria, Alain Ducasse, Michel Bras...), cet humaniste hors du
commun révèle ses recettes préférées et au-delà, donne les clés des classiques
de la gastronomie française. Réunies pour la première fois dans un ouvrage,
assorti d'un glossaire, ces Petites leçons de grande cuisine sont précises,
détaillées et munies de pas à pas abondamment illustrés. Jarret de veau aux
oranges, terrine de lapin au foie gras, soufflé léger aux pommes et citron
vert, poulet truffé au persil... autant de recettes accessibles à tous les
débutants et indispensables aux initiés. 35 grandes recettes, autant de tours
de mains (préparer des foies de volailles, obtenir une viande tendre, nettoyer
et découper des champignons...) et de recettes complémentaires (coulis de
fruits rouges, zestes d'agrumes confits, sauce vierge...), cet ouvrage dévoile
tout le savoir d'un grand chef dans la rigueur, le plaisir et la bonne humeur.
Depuis septembre 2009, Julie Andrieu anime Côté cuisine du lundi au vendredi à
11h10 sur France 3, et chronique du lundi au vendredi dans l'émission C à vous
sur France 5. Elle anime en outre Tous en cuisine sur France 3 Aquitaine.
Fourchette et sac à dos est également toujours diffusée sur France 5. Auteur de
deux best-sellers (La grande cuisine minceur et La cuisine gourmande), Michel
Guérard, un des fondateurs de la nouvelle cuisine, est triplement étoilé
Michelin depuis plus de 30 ans pour Les Prés d'Eugénie à Eugénie-les-Bains
(Landes).
Un dîner. Des chandelles. Champagne frappé. Musique douce. Ambiance.
Mais au fait, qu'est-ce que ça mange, un prince charmant ?
Réponse dans les grands films d'amour. D'Autant en emporte le vent à Titanic, séducteurs et dames de beauté passent derrière les fourneaux.
Dînez grand seigneur comme Leonardo DiCaprio et son caviar Titanic. Rétro, imitez John Travolta, Uma Thurman et le milk-shake de Pulp Fiction. Charmez à l'italienne d'un risotto de pigeon aux truffes, à l'orientale de crevettes au saké, à la française d'un tournedos hollywoodien.
Les princesses pétilleront dans le champagne cocktail de Casablanca. Savoureront la langouste de Funny Girl ou les rougets de César et Rosalie. Succomberont, peut-être, à l'absinthe de Dracula.
Les gentilshommes seront tout en sensualité, comme Brad Pitt et son beurre de cacahuètes. Tout en finesse, comme Harrison Ford et sa pomme d'amour. Parfois aussi tout à fait mal embouchés, comme Jack et Ennis, les cowboys de Brokeback Mountain, autour d'un barbecue aux étoiles.
Prêts pour le grand soir ? Il ne vous reste plus qu'à glisser un solitaire dans le parfait à la pêche des demandes en mariage. Bon appétit, mon amour.
Quel gourmand n'a jamais rêvé de pénétrer Au Coeur du goût ? Le pâtissier Pierre Hermé et le parfumeur Jean-Michel Duriez invitent le lecteur à embarquer à leurs côtés. Dans un ouvrage original où audace se conjugue avec équilibre des saveurs, ils laissent libre cours à leur imagination.
Fruit de plusieurs années de recherches et de dialogues passionnés, Au Coeur du goût permet de se plonger littéralement dans les univers de goûts, de sensations et de plaisirs des deux créateurs.
Quand Jean-Michel Duriez compose des accords inédits, Pierre Hermé les orchestre (Mont-Blanc Himalaya ; Paris-Agadir). Quand les complices s'attaquent aux fragrances qui ont marqué l'histoire de la parfumerie, ils transposent l'ivresse du parfum en bonheur du goût (Tarte Femme de Rochas : Pêche, Rose et Cumin).
Des fulgurantes associations de saveurs (Glace Milena : Menthe fraîche et fruits rouges) de l'un à la connaissance alchimique de l'autre (Sorbet eau de Cologne, Biscuit au piment Jamaïque, salade d'Oranges ; Océan à boire : Concombre et Mandarine), les idées s'entremêlent dans un dialogue jubilatoire à dévorer avec délice.
Depuis ce qu'ils nomment Les Évidences de la pâtisserie jusqu'aux Évocations de parfums de luxe, les deux auteurs partagent leurs plaisirs gourmands favoris. Dans Au Coeur du goût, Pierre Hermé révèle recettes inédites et secrets sucrés. Gâteaux, tartes, confitures, macarons, huiles parfumées, glaces et sorbets, cakes, desserts à l'assiette et créations originales sont ici rassemblés dans un ouvrage dense et intense.
À la fois documenté et ponctué d'anecdotes, tantôt sérieux, tantôt malicieux, un texte dévoilant les échanges de Pierre Hermé et de Jean-Michel Duriez éclaire leur dialogue créatif. Comment ils imaginent, élaborent puis construisent, peu à peu, les goûts qui leur trottent dans la tête.
Manger pour ne pas être mangé !Tel est le leitmotiv des Fables et l'ambition de ce livre.
Contemporain du Roi Soleil, La Fontaine écrit les Fables (1668 - 1694) en pleine révolution gastronomique. Les cuisiniers découvrent les légumes, déglacent les viandes, préparent des bouillons, confectionnent des coulis et remplacent les épices par les herbes potagères. Le beurre triomphe. Il lie les roux, émulsionne les sauces telles la hollandaise et nourrit la pâte feuilletée. Le sucre est désormais réservé aux seuls desserts, crèmes et gelées.
A Versailles, Louis XIV réclame des petits pois toute l'année, des salades en été ou des fraises en hiver. Le peuple se nourrit (encore trop peu) de céréales, de légumineuses et de racines. Cette cuisine, combinant recettes sophistiquées et plats du terroir, pose les bases de notre belle cuisine classique d'aujourd'hui. Citrouille, bette, betterave, navet, oseille ou champignon, les herbes et les légumes du potager sont ici mis à l'honneur.
Les céréales ne sont pas oubliées, ainsi les volailles et le petit gibier. Quant aux desserts, ils sont vaporeux et délicats, aux fruits des bois et des vergers. Moralité : Patriotiques et authentiques, poétiques et de bon goût, les 33 fables et les 55 recettes alimentent plus que jamais notre besoin de rêve (éveillé) et nos envies de retour à la nature.
On n'a jamais si peu cuisiné et jamais eu autant d'ustensiles de cuisine à notre disposition... Nouveau produit de consommation sur lequel se penche l'ingénieuse Frédérick e.
Grasser-Hermé, surnommée FeGH, ces outils se révèlent être encore plus présents qu'on ne l'imagine : elle, en compte 250 !... et lorsque l'on tente d'en dénombrer les fonctionnalités, on ne parvient plus à s'arrêter.
Adaptant avec humour et facilité l'outillage culinaire aux rythmes et humeurs de chacun, elle nous initie aux différents ustensiles, de l'indispensable au plus insolite, par leur usage classique et détourné et en les confrontant à de nouvelles recettes toujours plus audacieuses.
FeGH détourne notre Maryse et nous fait redécouvrir notre boule à riz pour réussir des pelottes de courgettes ; utilise la mandoline et ouvre notre horizon vers les "Egg Cubbers" nous permettant aussi de faire de notre cuisine un art. Apparaît alors toute une galérie de profils psychologiques (voire symptomatiques !) avec des outils pour remède. Comment répondre aux besoins de l'écolonostalgique ? à ceux du toujourspressé ? ou aider l'étourdi à étonner ses convives ?
FeGH nous dévoile ses secrets, ses inventions, et bien sûr, toute son imagination.
Cuisinière-écrivain et complice des grands chefs, Frédérick e. Grasser-Hermé provoque en cuisine en maniant aussi bien le goût, l'art et les mots. Son ecclectisme lui permet d'insuffler créativité et humour aux cartes de nombreux restaurants et sa simplicité d'offrir à tous les cuisiniers en herbe des astuces pétillantes et des conseils avertis.
À table avec Charlie Chaplin - 60 recettes vagabondes est un livre de jubilation. Il suit Charlot dans ses vagabondages, des petits pains de La Ruée vers l'Or à la machine à manger des Temps modernes, et propose les recettes dévorées par les héros de ses films.
C'est un livre sur les plaisirs de la bouche. Plaisir innocent des pancakes préparés par Le Kid. Plaisir coupable du gâteau dévoré en douce par Paulette Goddard dans le grand magasin des Temps modernes ou du menu pantagruélique commandé par La Comtesse de Hong Kong.
Nous partagerons la jubilation de trop courte durée d'un Charlot commandant six hot-dogs grâce à un portefeuille volé dans Le Cirque, le rire un peu malveillant qui voit l'héroïne de Monsieur Verdoux étaler une pâte à tarte avec la délicatesse d'un bulldozer. Nous partagerons aussi les gestes amoureux : un oeuf à la coque pour deux, une côte de boeuf fantasmée, un jambon volé.
Au fil des assiettes, nous découvrons les ressorts du comique propre à Charlie Chaplin : le fossé qui sépare les riches et les pauvres, un instant comblé par les spaghettis des Lumières de la ville ; l'aspiration à une vie heureuse et simple, où poussent les arbres fruitiers, où les vaches donnent du lait sans qu'on ait besoin de les traire. Et le génie de la métamorphose : des petits pains deviennent, entre ses mains, des chaussons de danse ; un canard rôti se change en ballon de rugby et un épi de maïs en arme de destruction massive.
Charlie Chaplin, qui connut une jeunesse de privations, adorait faire la cuisine. Au sommet de sa gloire, il publia plusieurs recettes : sablé aux pommes, tourte au boeuf. Ses amis ne tarissaient pas d'éloges sur ses steaks au barbecue. La table du gril de Hollywood où il avait ses habitudes porte aujourd'hui son nom. Nous offrirons à nos lecteurs quelques recettes de ses plats préférés.
Des bienfaits in-con-tes-tables de l'authentique Génépi à la truculence des dialogues et à la saveur des recettes, A Table avec Marcel Pagnol est "un velours dans la gargamelle".
Une vraie bénédiction : "Il guérit tout !" La fougasse aux olives et au romarin de Pomponette (La Femme du boulanger) ou l'omelette soufflée d'asperges sauvages d'Ugolin (Manon des sources), les fameuses bartavelles à lou pèbre d'aï de l'oncle Jules (La Gloire de mon père), l'anchoïade de Fernandel (Le Schpountz) ou les treize desserts provençaux d'Albertine (Le Château de ma mère), autant de recettes qui débordent des essences de marjolaine, de thym et de figuiers, des fumets des fours à pain, des effluves des caves où repose l'huile d'olive, des embruns marins d'une barque de pêcheur.
Et tout comme le pays de Pagnol se confond avec sa famille élargie à sa bande d'amis et à ses acteurs, réjouissez de cette cuisine simple, parfumée et authentique, tous les galavards (gourmand en provençal) et autres gourmands de votre entourage. Vous nous en direz des nouvelles.
Rafraîchissez votre mémoire gustative et déglacez vos connaissances en français et en culture générale gastronomiques, en mathématiques culinaires, en histoire et en géographie du terroir, en anglais so good, en Sciences de la Vie et de la Terre gourmandes.
Bachotez discrètement, laissez décanter et testez les exercices pratiques en famille. Savourez alors votre réussite : notre patrimoine gastronomique n'aura bientôt plus de secrets pour vous et vos dîners de la rentrée s'en trouveront transformés.
L'acteur chouchou des Français serait-il un colossal gourmand ? Au cours de sa filmographie, Louis de Funès brave l'armée allemande pour une part de gâteau, déjoue un enlèvement politique en plongeant dans une cuve de chewing-gum et repousse une invasion d'extra-terrestres à coups de soupe aux choux. Il faut le faire. Passons à table avec Louis de Funès directeur du Grand restaurant, couvant son soufflé aux pommes de terre et sa pyramide à la Septime. Poursuivons avec L'aile ou la cuisse où le patron du guide gastronomique enchaîne les dégustations à risques, de l'entrecôte de l'Auberge de la Truite à la choucroute garnie Tricatel, garantie sans pustules. Nous ferons un détour par Saint-Tropez pour goûter les oursins de l'adjudant. Nous plongerons la tête la première dans le cheesecake de Rabbi Jacob. Et vers minuit, dans l'hôtel du Globe occupé par les SS, nous descendrons aux cuisines nous faire un petit plateau, avec le poulet de l'entrecôte et la charlotte aux pommes du général allemand. Sans oublier qu'avant La grande vadrouille, il y a vingt ans de petits rôles. Louis de Funès apparaît tantôt braconnant des faisans à l'orange, tantôt garde-pêche mesurant des brochets de 34 centimètres. Déjà, dans La traversée de Paris, il avait pour partenaire un cochon de deux cents livres... Au terme de notre promenade dans ces petits plats bien de chez nous, il sera l'heure de remonter dans notre soucoupe volante, munis d'un bidon d'authentique soupe aux choux de l'amitié. "Ça nous fait même des gentillesses dans la tête. Tu veux qu'ti dise, ça rend meilleur".
Après Scorcese et Coppola, l'auteur récidive avec Michel Audiard. La scène de la cuisine. Des Tontons. Flingueurs. Soyez à ce qu'on vous dit ! Autour d'une trentaine de films cultes d'Audiard, Les Tontons flingueurs, Les Barbouzes, Touchez pas au grisbi, Archimède le Clochard, Faut pas prendre les enfants du Bon Dieu pour des canards sauvages, Maigret et l'affaire Saint-Fiacre..., retrouvez le Paris des années 50 jusqu'à la fin des années 70... et la cuisine française de ménage (voir le sommaire). Rappelez-vous des petits plats de la patronne (voir index des recettes) dans les zincs du vieux paris. Souvenez-vous de l'air réjoui de Lino Ventura dans Les Barbouzes à l'annonce des plats du jour : civet de lapin, paupiettes et plats de côtes, anthologique non ? Et Jean Gabin, dans Archimède le clochard qui demande : « Il est frais le turbot ? » La réponse de la patronne est imparable : « presque. » Les cornichons et les terrines sont « faits maison ». Et le blanc limé d'Archimède..., la p'tite crème renversée des Barbouzes ou les sandwichs à la purée d'anchois des Tontons : inoubliables ! Chaque menu correspond à un film et chaque recette correspond à un dialogue ou à une réplique hilarante ou culte. Et de la bouche des personnages d'Audiard, quelle saveur ! Muni d'un glossaire gastraudiaresque, À table avec les Tontons flingueurs propose 90 recettes de bistrot savoureuses, du sauté de veau aux paupiettes, du haricot de moutons au pâté de lièvre, de la p'tite crème renversée au moka splendide... et raconte le paris des Bistroquets, du trou des halles ou de la rue Lepic... Claire Dixsaut est toujours scénariste, écrivain et gourmande.
A table avec la Mafia revendique l'attachement à la terre-patrie et à ses produits : huile d'olive, tomate, orange, piment, vin... De Palerme à Manhattan, du Parrain à Il était une fois en Amérique, autant de scènes cultes que de recettes mythiques, emblématiques d'une cuisine italo-américaine du partage, riche d'influences et fière de ses origines. Entre Marlon Brando et Al Pacino, dégustez les lasagnes de Mamma Corleone... tout simplement divines. Testez la pizza au pepperoni de Catherine Scorsese avec Robert De Niro : forcément la meilleure du monde ! A moins que les gnocchi, dans les bras d'Andy Garcia, n'aient votre préférence... Passer aux aveux grâce au chili con carne de Serpico ou au gril de Tony Soprano devient un doux supplice. Un petit déjeuner avec Robert De Niro ? Ou un dernier verre, rédempteur, avec Sharon Stone ? C'est du cinéma ? Du film à la réalité, ces 90 spécialités gastronomiques italo-américaines - révélées et testées pour vous par les plus grands acteurs - sont autant de bonus pour la réussite de vos repas de famille, tête-à-tête amoureux, pique-nique dans les collines, dîners entre amis..