«Robinson s'était longtemps demandé comment il appellerait l'Indien. Il décida finalement de lui donner le nom du jour où il l'avait recueilli. C'est ainsi que le second habitant de l'île s'appela Vendredi.»
Incroyable, mais vrai : à sa naissance, Cornebidouille était une merveilleuse et inoffensive petite princesse, adorée de ses parents. Quoi ?! Mais alors, comment cette délicieuse enfant est-elle devenue l'horrible sorcière qui n'a que l'ordure à la bouche, et la terreur planétaire de tous les enfants (sauf un) qui ne veulent pas manger leur soupe ? Vous le saurez bientôt, nom d'un prout de chameau !
Dans un épisode précédent, Cornebidouille et son double Cornebidouille avaient échoué dans la poubelle, comme de vieux déchets vaincus. Décidées à se venger, elles se réunissent, forment un grain de poussière et hop ! grimpent sur la tête du petit Pierre. puis dans son gosier. Le malheureux enfant ensorcelé se met à parler très bizarrement. Il traite le docteur venu le soigner de « Prout de chamois ». Oh là là, au secours, danger ! Heureusement, petit Pierre a plus d'un tour dans son sac. Ce n'est pas encore cette fois que Cornebidouille gagnera ! A partir de 5 ans.
Quand il était petit, Pierre ne voulait pas manger sa soupe. «Tu sais ce qui arrive aux petits garçons qui ne veulent pas manger leur soupe?» lui disait son père, «Eh bien, à minuit, la sorcière Cornebidouille vient les voir dans leur chambre, et elle leur fait tellement peur que le lendemain, non seulement ils mangent leur soupe, mais ils avalent la soupière avec.» Pierre s'en fichait. Il ne croyait pas aux sorcières. Mais il faut admettre que son père avait raison sur un point: une nuit, à minuit, dans la chambre de Pierre, la porte de l'armoire s'entrouvrit avec un grincement terrible et Cornebidouille fit son apparition. Allait-elle parvenir à faire peur à Pierreoe Ca, c'était beaucoup moins sûr.
À cause du nouveau travail de son père, Mila doit quitter son paradis terrestre en pleine nature pour la grande ville, triste et grise. Se laisser priver longtemps des plantes, des vagues, des arbres, des fleurs et surtout de la comète qu'elle a vue par une belle nuit ? Pas question. Riche de ses souvenirs, de ses rêves, de son sens de l'observation, de ses crayons et d'un peu de magie, Mila réagit.
Il était une fois trois vilains brigands. dont la vie changea totalement le jour où ils rencontrèrent Tiffany, la petite orpheline. De trois méchants elle en fit ...des bienfaiteurs de l'humanité.
Robert a passé une très mauvaise journée. Il n'est pas de bonne humeur et en plus, son papa l'a envoyé dans sa chambre. Alors Robert sent tout à coup monter une chose terrible : la colère...
«Depuis longtemps, j'observe les postures des enfants qui lisent. Je regarde les ruses des plus passionnés pour glisser de la lecture partout et tout le temps. Mes carnets se remplissent d'enfants lisant les pieds en l'air, en boule sous les tables, planqués dans les espaces à bagages des trains. J'ai vu naître dans cette accumulation une célébration des jeunes lecteurs dans un monde où on ne cesse de dire qu'ils ne lisent plus... Et pourtant, ils lisent!» Timothée de Fombelle.
- Dis, maman, est-ce que tu m'aimeras toute la vie ? demande Archibald, un soir avant de s'endormir - Hum, eh bien, je vais te dire un secret., répond sa maman.
Ainsi commence le tendre inventaire des moments de vies partagés entre une mère et son enfant, où tout devient prétexte à s'aimer.
Sur chaque double page, Astrid Desbordes a choisi d'opposer en vis-à-vis des situations contraires, qui jouent avec aisance sur les registres du quotidien et de l'imaginaire, de la poésie et de l'humour. Le message de cet irrésistible album est simple et limpide : l'amour est constant et sans condition. Mais c'est dans la toute dernière phrase que se cache le véritable secret : « Je t'aime parce que tu es mon enfant / mais que tu ne seras jamais à moi. » Les illustrations de Pauline Martin, subtiles dans le trait comme dans la couleur, soulignent avec force la délicatesse de cette formidable déclaration d'amour.
Qui n'a jamais rêvé d'être ami avec une sirène? Zoé et Océane se retrouvent chaque jour pour jouer ensemble. Mais ce soir, c'est une aventure incroyable qui les attend!
Incroyable mais vrai : le très sérieux directeur artistique du magazine Fortune se met soudain à déchirer les pages de Life en rondelles et dit : « Lui, c'est Petit-Bleu. Et lui, c'est Petit-Jaune, son meilleur ami. Un jour ils s'embrassent si fort qu'ils deviennent tout verts... » Nous sommes dans un train de banlieue, à New-York, en 1959, et par ce geste improvisé, Leo Lionni vient non seulement de calmer ses deux turbulents petits-enfants, mais encore de captiver tout le wagon et de trouver sa nouvelle vocation d'auteur pour les enfants. Publié pour la première fois en France en 1970, Petit-Bleu et Petit-Jaune fête aujourd'hui ses 50 ans, l'âge qu'avait leur inventeur en ce jour magique.
Elle revient encore... et elles ne sont pas contentes ! - Dans La vengeance de Cornebidouille, Pierre avait réussi à faire manger sa propre soupe à l'abominable Cornebidouille, ce qui l'avait illico transformée en potiron... Mais une sorcière se résigne-t-elle à sortir de la vie de ses victimes ? Non ! Plus tard, quand sa maman coupe en deux un potiron pour le dîner et qu'aussitôt une odeur épouvantable se répand, Pierre a une intuition : Cornebidouille est de retour... Il ne se trompe que sur un détail. À présent, elles sont deux et elles veulent se venger. Il va encore falloir ruser !
Chouette voudrait tant devenir un vrai chevalier ! Il serait courageux. Il serait astucieux. Et il aurait beaucoup d'amis. Après tout, ce n'est pas parce qu'on est petit qu'on ne peut pas accomplir de grandes choses ! Mais son rêve semble impossible. Jusqu'au jour où...
Un conte médiéval sur ce qui fait l'étoffe d'un vrai héros : persévérance, ingéniosité et grand coeur.
Souvenons-nous : dans l'album Cornebidouille, Pierre avait flanqué l'affreuse sorcière dans les cabinets. Mais voilà, une Cornebidouille, ça ne disparaît pas comme ça. Elle revient et elle n'est pas contente ! Elle fait un bruit d'enfer sous la cuvette, laisse des traces et des flaques mouillées partout dans la maison... Envoyé au lit pour avoir renâclé devant sa soupe de légumes, Pierre ruse et trouve un moyen imparable pour éliminer non seulement la sorcière, mais l'horrible brouet de sa propre mère !
Des images malicieuses pour une histoire à raconter tous les soirs rien que pour la chute.
L'hiver se prolonge et les réserves de grains viennent à manquer au poulailler... Alors que les parents sortent chercher de quoi nourrir leurs chers petits, de sinistres individus frappent à la porte : eux aussi ont faim ! Et ils sont prêts à tout pour remplir leur panse... Brrrr, les Cocottes ont les chocottes ! Heureusement, les P'tites Poules ont plus d'un tour dans leur sac pour se défendre !
Le sixième tome des aventures de Taupe et Mulot !
Lorsque l'hiver arrive, Mulot se retrouve fort dépourvu, ce qui ne passe pas inaperçu lorsque son fidèle ami Taupe vient lui rendre visite. Taupe réunit tous leurs amis pour une kermesse hivernale où les lots sont des provisions. Ne reste plus qu'à faire gagner Mulot !
Une première lecture où solidarité, bienveillance et humour sont au rendez-vous !
« Pondre, toujours pondre ! Il n'y a pas que çà dans la vie ! Moi je veux voir la mer ! » s'écrie Carméla, la petite poule blanche. Son père, le coq, n'a jamais rien entendu d'aussi fou. « File au lit », ordonne-t-il à la poulette. Mais Carméla n'arrive pas à s'endormir...
« Il était une fois un lapin qui ne savait dire qu'une chose... Caca boudin ! » Voilà vingt ans que cette phrase historique a été imprimée pour la première fois. Depuis, Simon le Superlapin a eu un petit frère, a inspiré une chanson et une série de dessins animés, s'est transformé en peluche, a vécu une vingtaine d'aventures, etc., etc. Pour fêter le joyeux anniversaire de sa naissance, voici une réédition indestructible !
« Un jour, mes parents m'ont dit que j'allais avoir une petite soeur.
C'est drôle, je ne me souvenais pas leur avoir demandé. » C'est Archibald qui nous fait cet aveu en introduction du nouvel album de Pauline Martin et Astrid Desbordes, qui reprennent ici le personnage de Mon Amour dans le rôle d'un grand frère curieux mais dubitatif face à l'arrivée d'une petite soeur avec laquelle il va désormais devoir compter.
Au fil des pages, la petite soeur grandit, trouve sa place dans les jeux, dans le coeur, mais aussi dans les inquiétudes d'un grand frère parfois jaloux, souvent tendre et finalement très fier de ce rôle nouveau. Car, nous dit Archibald, « ce que je préfère avec ma petite soeur, c'est être son grand frère ».
Astrid Desbordes nous surprend une nouvelle fois par la subtilité et l'humour de son propos, remarquablement soutenu par les illustrations de Pauline Martin.
Dans la nature, se dit Archibald, il n'y a pas de bruit. C'est comme si on était seul au monde.
Charlotte a un ami qui n'est pas comme les autres. C'est un chien au pelage bleu et aux yeux verts brillants comme des pierres précieuses. Il vient la voir tous les soirs. Charlotte aimerait le garder mais sa maman s'y oppose. C'est alors qu'elle se perd dans la forêt.
Une très belle histoire sur la force de l'amitié, la loyauté et la reconnaissance, appuyée par des illustrations majestueuses et imposantes.
De 3 à 7 ans.
Chaque jour, la famille Vasylenko brave la nature sauvage à la recherche d'aventure. Et chaque jour, Oktobre préfère se plonger dans les livres. À la différence de ses onze frères et soeurs, il a une peur terrible de La Nature Sauvage. Ses parents lui expliquent qu'elle n'est pas un monstre : c'est une expression, un endroit, une émotion. Pour Oktobre, ça sera une rencontre.