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Cinq femmes passent une semaine de vacances dans le golfe du Morbihan. Est-ce un hasard si un ressortissant belge trouve la mort dans le seul hôtel de Saint-Gildas-de-Rhuys, station désertée des touristes en cette semaine de Toussaint ?
Pour le commissaire Guehennec, le hasard n'a de sens que par sa nécessité et il y a forcément un lien ! -
Très jeune, Ignacio a appris à vivre avec la mort. Follement épris d'une magistrate, il va pourtant l'assassiner brutalement chez elle. Un crime horrible à la suite duquel il s'exile et refait sa vie en ignorant que les traces sordides de cet assassinat deviendront un sujet d'étude de la plus haute intensité pour de nombreux experts en parapsychologie. Trahi par ses certitudes, objet d'immondes complots, Ignacio Golden trace la trajectoire mouvementée d'un homme qui se débat dans un monde en déliquescence et qui n'est déjà plus le sien.
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- Nom ?
- Amiot.
- Prénom ?
- Julien.
- Profession ?
- Enquêteur.
- Enquêtes de quoi ?
- Cherchez.
- Je répète : enquêtes de quoi ?
- Je cherche.
- Vous cherchez quoi ?
- Ce que je trouve. -
Matsuda, un ancien yakusa, a décroché voilà des années pour se retirer dans le Lubéron. Mais il reste lié par un pacte à vie à son ancienne organisation. Aussi, lorsque le chef de son organisation le contacte, il revient à Tokyo pour accomplir une ultime mission : éliminer la patronne d'un bar de nuit qui joue un double jeu. Plongé dans les bas-fonds du Golden Gai, Matsuda réalise peu à peu que l'univers dans lequel il remet les pieds n'est pas toujours ce qu'il semble être et que les visages de ses amis comme de ses ennemis pourraient n'être qu'un gigantesque théâtre d'ombres.
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Deux jeunes femmes, deux destins. La première, à peine sortie de l'adolescence, s'installe dans un joli cottage et voit sa vie se transformer en conte de fée rayonnant, parfois terni par quelques grains de noirceur. La seconde, une mystérieuse enquêtrice, se lance à la recherche d'une peintre talentueuse au passé trouble qui ne cesse de se dérober. Tout en suivant des trajectoires parallèles, les deux jeunes femmes se confrontent à leur part d'ombre et de lumière jusqu'à affronter l'indicible.
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« Sur ses gardes, Blanche entra dans la pagode, avec au fond d'elle-même un vilain sentiment de profanation. Que m'arrive-t-il ? Après tout, je suis chez moi ! Étendue de tout son long sur le lit banquette, une jeune fille apparemment endormie. Une vingtaine d'années, un chemisier en toile écrue, une jupe longue à fleurs, des espadrilles de corde. Sous la masse des cheveux bruns, un visage de neige, de longs cils sur une paupière bleuie, une trace de salive à la commissure de sa lèvre. » Une propriété en Creuse, au fond du parc un abri de jardin, en forme de pagode, au bord d'un ruisseau : l'Indolent rebaptisé le Yang' Tsé par un aïeul officier de marine. Cinq petits-enfants en vacances chez leur grand-mère Blanche Rivière. Juillet, la pluie, l'ennui jusqu'au moment où l'un d'eux découvre dans la pagode une jeune fille morte. Dans le creux de sa main, un papier disant qu'elle est la fille de Jean-Charles Rivière, le mari de Blanche, photographe disparu depuis huit ans, vraisemblablement en Europe centrale.
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Jaune fluo, c'est la couleur de la veste des ripeurs du Dépôt de ramassage des ordures de la bonne ville de Saint Tropinant. À l'arrière de son camion-benne, notre héros savoure le bonheur d'avoir un travail valorisant et de s'assumer pleinement, lui qui sait tout juste "lire, écrire et compter". Avant ce miel, la vie n'a pas souvent souri à cet enfant de l'Assistance Publique. Mais l'état de grâce cessera quand il sera confronté aux agissements pervers d'un redoutable gang de souteneurs. Il découvrira dans cette lutte qu'il possède des capacités de courage et de jugement qu'il n'imaginait pas détenir et se surprendra en balayant les obstacles qui se dressent devant lui. Outre assurance et confiance en lui, il rencontrera dans cette confrontation l'amour dont il a toujours été sevré. C'est avec truculence et émotion que "Jaune fluo" nous embarque dans d'extraordinaires aventures.
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Je m'appelle Michael Artner.
Je coulais des jours paisibles dans le nord-est des États-Unis avec mon fils, David, et ma seconde femme, Sandra, enceinte de notre premier enfant. C'était une existence douce et sans surprise dans une banlieue aisée : une vie banale mais qui me plaisait.
Jusqu'au jour où tout s'est transformé en un cauchemar dément : quand je suis rentré chez moi, il n'y avait plus aucune trace de Sandra. Elle n'avait pas seulement disparu : tout indice de son passage sur terre avait été effacé. Elle n'avait jamais existé pour personne. Son souvenir survivait seulement dans ma mémoire. Deux hypothèses s'offraient à moi : ou j'étais devenu fou, ou bien on se moquait de moi. Et je refusais de croire que l'histoire de notre amour n'était que le fruit de mon esprit malade.
Depuis lors je n'ai eu qu'une obsession : la retrouver. Quel qu'en soit le prix. -
Michaël a bien des raisons pour entreprendre sa démente entreprise. Mais, au-delà d'une vindicte personnelle, il remet en question l'usage trop systématique des produits dopants dans le monde du sport et en profite pour dénoncer les émissions de téléréalités qui gangrènent les téléspectateurs en se livrant à l'apologie du succès facile basé sur l'élimination aléatoire. Sa cruauté se veut proportionnelle au but fixé : ne le jugez pas trop hâtivement !
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Dans ce petit village perdu en montagne l'entente est parfaite. Janette a deux amis d'enfance, Fanou et Nanou. Lequel épousera-t-elle ? Un dimanche, Béret meurt, écrasé par son tracteur. Meurtre, suicide, accident ? L'enquête sera trop vite menée et le doute va subsister. Comment le commissaire d'abord puis l'inspecteur, six ans après, résoudront-ils cette énigme ? Qui de Nanou ou de Fanou gagnera le coeur de la belle Janette ?
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Rechercher un homme dont on sait simplement que le chien s'appellerait « Charly » ou « Charlie », voilà une mission qui ne manque pas de surprendre l'équipe du commissaire Dezuiver. Mais trouver un cadavre dans un cimetière, quoi de plus normal ? Mais si ce cadavre est nu, qu'il a été déposé sur une des pierres tombales et que sa découverte fait suite à des profanations dans plusieurs cimetières du Nord et de Belgique, voilà qui justifie une enquête de la Police Judiciaire de Lille. Dans ce roman policier franco-belge, le commissaire André Dezuiver et son équipe vont porter leurs investigations dans le monde des sectes sataniques et, accessoirement, dans celui des sites « échangistes sadomasochistes »...
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Deux chercheurs de l'OIE (Office International des Epizooties) sont mandatés sur l'île de Bornéo en Malaisie, afin de découvrir la nature de la pandémie qui ravage la population d'orangs-outans. À Paris, une mystérieuse maladie contagieuse se propage. Des terroristes ont dispersé dans plusieurs lieux publics un virus mortel. Un terrible lien unit ces deux fléaux. À travers ce roman, qui met en relief la biodiversité de la forêt primaire de Bornéo et les traditions des peuples qui y vivent, on peut suivre les péripéties et la personnalité de plusieurs personnages qui sont confrontés à une menace bio-terroriste.
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Yannick tira de sa poche quelques pièces qu'il laissa sur le comptoir, et sans échanger un regard nous sortîmes, sourds aux apostrophes pressées. Deux ou trois tentèrent de nous suivre, mais Yannick se retourna, les poings sur les hanches, et émit un grognement caverneux.
Les premiers journalistes sur place durent donc se rabattre sur Joseph et Françoise, autant pisser dans un biniou. Mais nous savions de toute façon que le temps nous était compté et qu'il nous faudrait tôt ou tard faire face à la meute.
La sonnette de la porte d'entrée retentit. Je n'attendais plus personne depuis longtemps, et un dimanche, ce ne pouvait être l'almanach des postes. Je saisis la poignée de la porte avec un mauvais pressentiment. Un korrigan, peut-être? Au point où j'en étais... J'ouvris.
Devant moi se tenait Bart Goitrel, dit l'Héritier.
La trogne empourprée et le fusil de chasse dans le creux de l'avant-bras, il affichait un sourire carnassier.
"T'inquiète pas, juste un petit verre, histoire de dire bonjour." Décidément, Bart lisait dans mes pensées, car j'étais justement très inquiet. Un Goitrel bourré et insistant était la dernière malédiction que je pouvais envisager dans l'ambiance déjà pourrie de mon salon. Malgré le poids de la fatalité, je continuai de tergiverser. "Pourquoi as-tu amené ton fusil?"
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Max Lagardère, romancier, vit en Gironde avec sa compagne, Clotilde, maniaco-dépressive, et leur fils Alexis.
La maladie mentale au long cours de cette dernière va les mener sur des chemins parsemés de souffrances, d'embûches et de démêlés judiciaires.
Entre manipulations, mensonges et tromperies, il s'en suivra une longue descente jusque dans les méandres de la folie humaine.
Mais Max est à bout et continuer à aimer comme ça lui semble au-dessus de ses forces.
Incapable de donner du sens à sa vie, il s'enfonce inexorablement dans une spirale infernale de laquelle aucune issue heureuse ne semble pouvoir émerger.
Le destin décidera pour lui et mettra sur sa route une jolie trentenaire, Cynthia. Cette dernière l'accompagnera alors dans des tribulations insensées qui les conduiront du golfe de Saint-Tropez jusqu'à cette petite chapelle bretonne, le mêlant ainsi à des mondes dont il ne soupçonnait même pas l'existence.
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« Un soir de quiétude, assis à ma table, directement sur le clavier de mon ordinateur, j'avais commencé à écrire cette sordide histoire de petit fonctionnaire qui décidait de faire le ménage autour de lui... la petite histoire était devenue un livre, un roman, presqu'à mon insu : la vie privée d'un homme devenu serial killer... sa vie, son oeuvre, ses amis, ses victimes, ses voisins, ses amours. » Ce serial-killer, qui est-ce ? Le connais-je ? Suffisamment en tout cas pour que j'écrive un ouvrage sur lui, sa vie, son oeuvre... Est-ce un ami, un collègue, un voisin ? Ce sentiment d'être intime... familiarité, promiscuité... comme si c'était moi... Est-ce moi ? Tous les faits, tous les personnages, je sais ce qu'ils et qui ils sont, je les ai connus... presque tous... Ont-ils tous rencontré la longue lame effilée que je porte généralement sur moi ? Didier Larèpe est né un mercredi de 1958 à Châlons-sur-Saône, Bourgogne, pays du bon vin. Élève moyen mais souvent remarqué pour ses tenues ou ses idées saugrenues, il se lance très jeune dans la peinture, dans la lecture et la musique. Devenu grand, il se fait une place dans le petit monde de la culture et décroche son premier poste de directeur des affaires culturelles à vingt-cinq ans. Il ne cesse depuis, avec femme et enfants, de multiplier les expériences et de parcourir la France : Nord, Poitou-Charentes, Vendée, Champagne-Ardenne et aujourd'hui Lorraine Autant de lieux que l'on retrouve dans son roman.
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Yvon Quennec aurait pu passer une retraite paisible dans sa maison de la pointe de Kermorvan au Conquet. Par la fenêtre, il pouvait apercevoir son bateau se balançant sur sa bouée. Tout semblait réuni pour qu'il soit heureux, mais il avait un terrible secret qui hantait certaines de ses nuits.
Que s'était-il passé sept ans auparavant ? Comment pouvait-il faire face au remords et au sentiment de culpabilité qui l'avaient envahi depuis ? La contemplation de la mer d'Iroise où Atlantique et Manche s'affrontent, entre l'archipel d'Ouessant et le continent, arrivait à peine à calmer ses angoisses, jusqu'au jour où... -
L'histoire : Martial Lecomte, commissaire de police exilé près de Montpellier revient à Lens vingt ans après un départ précipité pour enquêter sur une série de meurtres troublants. L'occasion pour lui de replonger dans un passé amical et affectif qu'il avait été contraint de fuir...
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Nous ne sommes pas toujours ce que nous affectons d'être. Nous nous mentons à nous-même, comme nous mentons aux autres. Il y a en chacun de nous, un imposteur qui sommeille et, la plupart du temps, lorsque celui-ci s'éveille, c'est pour dissimuler l'importance des passions qui nous dévorent, ou la part de noirceur qui nous habite. Le pire, voyez-vous, c'est lorsque pour les nécessités de votre profession on vous enseigne à l'être, ou du moins, à vous conduire comme tel. Certes, on n'est jamais obligé d'accepter ce genre de boulot, on peut toujours le refuser, sinon démissionner si besoin. Seulement, je n'avais pas fait l'école de police pour en arriver là. Je vais vous faire un aveu et je n'en dirais pas davantage. L'action clandestine contre le crime, quelle qu'en soit la cause qui peut la justifier, reste une guerre. Une guerre sale, qui se pratique dans une communauté réduite aux aguets, où il est très facile d'y perdre son âme.
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Louis Bardeloup, célibataire caractériel et déjanté, habite avec sa mère après une carrière à la marine interrompue par un grave accident de travail. Vivant d'allocations et de petits trafics liés à la pêche, l'homme accepte mal son statut de paria au sein de la communauté insulaire. Un jour d'été, au retour de pêche, il rencontre une jeune inconnue et sa vie bascule. Une histoire où se mêlent secrets de famille, manipulations et faux-semblants. La fin est tragique, hystérique et démentielle.
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« - Docteur, je viens vous voir parce que j'ai un gros problème... - Lequel, commissaire ? - Présentement, j'ai l'impression que tout le monde me ment... Que le monde a imperceptiblement changé autour de moi. - Ça change tous les jours, vous savez, commissaire. On ne joue pas dans Matrix, on est dans la vraie vie... - Oui mais là, ça a beaucoup changé en quelques jours à peine. Et de manière... anormale. » Le Pilat, à l'automne... Aux portes de Saint-Étienne, une bête mystérieuse sème la terreur, fauchant hommes, femmes et enfants. Elle tient en échec les battues des gendarmes et déjoue tous les pièges... Puis bizarrement se fait tuer, lors d'une ultime battue, à laquelle le commissaire Addamah du SRPJ de Lyon et son adjointe, la bouillonnante Kiki Manset, participent. Lors de la courte enquête, le commissaire et son adjointe ont fait la connaissance d'une famille d'originaux membres d'une secte, Gnose de Marie, dont la mère - grande prêtresse - a été dévorée par la bête du Pilat. Et bientôt, c'est le père qui disparaît dans un accident... Mais est-ce vraiment un accident ? Ou la vérité est-elle ailleurs, quelque part autour du mystérieux château des Eschuyers où demeure la fille unique de la famille, désormais à la tête d'une immense fortune ? Bernard Domeyne signe un suspense qui renouvelle avec brio les codes du thriller ésotérique. Naviguant entre premier et second degré, riche de personnages secondaires bien campés, il livre une aventure policière qui tient jusqu'au bout le lecteur en haleine.
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Y'a pas à dire, avec la pleine lune en complément, c'est quand même beau une mer la nuit ! À vingt mètres côté coeur, un couple de trentenaires qui s'efforce d'en paraître dix de moins, se galoche sur un rocher rose... Si l'un des deux perd l'équilibre, il embarque l'autre pour une cascade qui me ferait marrer d'ordinaire. Là, je ne suis pas d'humeur ! Ma femme est morte et c'est moi qui l'ai tuée...
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La neige tombe abondamment sur la vallée. La partie de chasse est terminée depuis bien longtemps et Georges, toujours si pressé de retrouver son épouse, ne revient pas. Que lui est-il arrivé ? Que s'est-il passé dans la forêt ? À travers ce roman policier faisant la part belle aux émotions fortes, Marie-Antoinette évoque ce terrible problème qui ne devrait plus exister à notre époque : « le refus des êtres différents ».
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Qu'un parchemin vieux de plusieurs siècles surgisse des entrailles de l'église Saint-Nonna à Penmarc'h, et c'est tout un pan du microcosme local qui vole en éclat. Comment déchiffrer ces mystérieux signes cabalistiques écrits avec le sang même des suppliciés d'un autre temps, sur cette feuille de chiffon ? Qui veut donc s'approprier ces richesses enterrées quelque part, il y a bien longtemps, dans cette partie du sud Finistère ? Parfois, il n'est jamais bon de fouiller dans le passé et profaner la tombe d'un combattant de l'ombre peut déclencher l'ire de protecteurs occultes. Pour résoudre cette énigme, Max et Amandine, enquêteurs chevronnés que rien ne prédestinait à travailler ensemble, vont allier leurs forces afin de déjouer les projets malveillants d'un adversaire insaisissable. Soutenus dans cette quête par un allié inattendu, leurs investigations prendront des voies aussi complexes que périlleuses, laissant derrière eux un sillage aux couleurs de la mort.
[On a volé Saint-Nonna]
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« La pestilence est à son paroxysme. J'aperçois dans un coin de la pièce, éclairé par un rai de lumière passant entre les panneaux des volets clos, un corps allongé sur un lit. Nicolas ouvre brusquement les volets et la fenêtre, n'apportant qu'une bouffée d'air frais. L'homme est couché sur le dos, dans un vêtement de travail de laine brune, les mains croisées tenant un éventail noir sur le ventre ». Dans ce troisième roman, Adémard de Prensac est chargé de résoudre une énigme à Sarlat : on peut imaginer qu'en mai 1643, les braises des guerres de religion y sont encore brûlantes... et les meurtres monnaie courante.