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Fleur Sauvage
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Le détective privé Lenarf est engagé par un entrepreneur de pompes funèbres organisant des enterrements pour VIP et dont deux clients sont morts à intervalles rapprochés, ce qui suscite une double interrogation. Rejoint par deux pointures de la police officielle, Lenarf partira à L'île de la Réunion découvrant les dessous d'une affaire aussi dangereuse qu'étonnante. Suspens, rebondissements et beaucoup d'humour, cet enterrement a un air de fête dont seul Joseph Farnel semble avoir le secret !
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Apolline et Philippine sont deux jumelles farceuses de 84 ans, s'employant à rompre la monotonie de leur existence en faisant les coups les plus graveleux.
Les deux soeurs résident dans un quartier paisible de Boulogne-Sur-Mer. Un nouveau venu, Gabin, s'installe à deux pas de chez elles. Son côté mystérieux les intrigue.
Apolline est méfiante, elle enquête sur lui tandis que Philippine se laisse prendre au charme de l'ancien officier du S.A.S.
Tenace, Apolline découvre que Gabin aurait tué sa femme, Issa, épousée en République Dominicaine à la fin de sa carrière militaire. Mais Philippine doute des dires de sa jumelle et accepte la demande en mariage de Gabin.
De son premier amour, Philippine a eu une fille, Camille, maintenant âgée de 68 ans et qui n'a jamais connu son père. Celui-ci débarque afin de voir Gabin. A l'initiale, l'ancien officier devait retrouver la fille.
Apolline est écoeurée par l'attitude de Philippine qui n'a plus d'yeux que pour Gabin. De vives tensions apparaissent chez les jumelles.
Apolline piège sa soeur, provoquant un accident... et la vengeance aussi cruelle qu'irrémédiable de Philippine lors de la soirée de fiançailles.
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A l'approche des fêtes de Noël, deux meurtres sont perpétrés à deux jours d'intervalle, sur deux femmes au profil identique de manipulatrices perverses. La première, Stéphanie Casadesus, mère de famille, est poussée en voiture du haut d'une falaise à Collioure, près de Perpignan. La seconde, Corinne Alvarez, directrice d'école privée, est poignardée sur le parking de son établissement, en métropole lilloise.
Rien ne semble relier ces deux affaires, mais les deux capitaines en charge des enquêtes sont amis depuis l'école de police. Laurent Pujadas, policier catalan, débarque ainsi dans le Nord, hébergé par son homologue lillois Benoît Demazure.
Pujadas vient auditionner Marguerite Dubois, ex-femme du compagnon de Stéphanie Casadesus, Raphaël Pons. Raphaël et Marguerite sont fort attachés l'un à l'autre, et cette dernière savait l'enfer quotidien que Casadesus infligeait à Raphaël et à leur fils.
Demazure, quant à lui, oriente ses investigations autour de Mathilde Varoquier, qui a quitté l'enseignement après avoir été harcelée par Corinne Alvarez.
Échangeant sur leurs enquêtes respectives, et bloqués par l'alibi en béton des leurs suspectes, les deux policiers constatent que Marguerite et Mathilde habitent le même quartier. Toutes deux, éprises de justice, ont subi un grave préjudice moral de la part des deux manipulatrices. Pujadas émet alors l'hypothèse que les deux femmes se connaissent et ont échangé leurs crimes. D'abord sceptique, Demazure accepte de réorienter leurs recherches dans ce sens.
Les coïncidences se multiplient en faveur de cette théorie et les alibis inversés des deux femmes s'avèrent fragiles. Cependant, les policiers n'arrivent pas à établir un lien direct entre elles, ni la présence de l'une sur le lieu du crime prémédité par l'autre.
Faute de preuves, l'affaire de Collioure sera classée comme un accident avec délit de fuite, tandis qu'à Lille, on conclura à l'acte d'un psychopathe. Les deux capitaines restent pourtant persuadés que Mathilde et Marguerite sont coupables de cet échange de crimes... sommes toutes imparable.
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Londres, 1892. Un climat de peur.
Un flic qui boîte et un jeune orphelin.
Tous deux face à un meurtre...
... dont il ne fallait plus parler.
Jouant avec un côté « Sidekick », Soul Of London nous plonge dans une atmosphère londonienne fort bien documentée. Ce nouveau thriller se révèle être aussi distrayant qu'angoissant.
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Enquête sérieuse ou croquignolesque ? Blacke reprend du service pour retrouver le cadavre de Baudelaire.
Face à cinq vieux taiseux et un cercueil presque vide, l'ancien détective sera accompagné d'un fantôme sorti de son passé, et d'un journaliste traumatisé par un passage à tabac.
Le trio devra faire face à une société à l'agonie... et à un jardinier cultivant les fleurs du mal.
Après le fort remarqué « Cette personne qui n'aimait pas les chiens », Michaël Moslonka plonge, peut-être pour la dernière fois, David Virgile Blacke dans une enquête sombre comme sait l'être l'âme humaine... cruelle, parfois ridicule mais sans cesse étonnante.
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Un vol plané du haut d'un beffroi Une facétieuse détective, son délicat mari Le drame d'une amie Et d'inexorables secrets...
Avec ce premier roman, l'auteure s'éloigne des clichés noirs qui si souvent caractérisent la littérature policière. Son personnage central, Hermione Montbaillard, se révèle être une dame aussi drôle qu'attachante et surtout, terriblement imprévisible.
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Dris est un délinquant multi-récidiviste qui a décidé de se ranger et de commencer une nouvelle vie. Serge est un pédophile qui compte bien profiter de sa liberté nouvellement retrouvée. Schimanski est un flic de la BAC de Nuit qui se retrouve embarqué dans une enquête le conduisant hors procédure.
Les chemins respectifs de ces trois hommes finiront par se télescoper...
Après « La promesse », Cédric Cham revient avec ce roman noir en ligne directe avec son activité dans le milieu carcéral. Un récit fort, intelligent et réaliste.
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Franck, 24 ans, préfère au suicide la compagnie d'Alex, un semblant de voyou pour qui il se liera d'amitié. Les deux hommes, dans leur décadence, croiseront une vieille dame qui ne veut plus de la vie. L'existence de Franck s'en trouvera bouleversée.
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Un nouvel appartement, loin des rats / Mais sous l'apparente blancheur / Des mots cachés, des récits, tel un cri / Un appel au crime.
Thriller littéraire, récit atmosphérique, Le cri se révèle être une oeuvre aussi étrange qu'envoûtante.
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Cette personne qui n'aimait pas les chiens
Michaël Moslonka
- Fleur Sauvage
- 4 Septembre 2015
- 9791094428054
Une personne capable de tuer un chien de cette manière est forcément capable de tout.
Malgré cette théorie, Blacke n'enquêtera pas.
Il a été flic, puis ex-flic. Il est maintenant détective privé.
Comment peut-on oeuvrer dans l'intérêt de son espèce quand on déteste les femmes, le genre humain et, pire encore... les chiens ?
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Stan Kurtz, c'est un peu le San Antonio de Frédéric Dard. Version barrée mais balisée (six épisodes pour cette première saison, périodicité mensuelle). Stan Kurtz est détective, il « travaille » à l'ancienne bien qu'il ait à peine trente ans. Plutôt à la ramasse, pas très courageux, ses nombreux défauts seront mis à mal, obligeant notre homme à payer son loyer, se confronter à un ersatz de Frankenstein ou, accessoirement, nous émouvoir.
Une bien drôle de surprise que cette série-là.
Épisode 1/6, par Stan Kurtz lui-même : Le jour où Miss Boxer entra dans ma vie, j'étais au fond du sac. Elle m'engagea pour retrouver son crooner de mari, Valentin, a priori mort même si son cadavre manquait à l'appel... Les ennuis se mirent à tomber plus vite qu'une vieille peau sur la glace. Au fur et à mesure de mon enquête, je me heurtai au pire et plus ça allait, plus je m'enfonçai dans la vase d'une bien étrange histoire, une blague à la chute aussi cruelle qu'inattendue : Valentin Boxer et sa femme Gina ne faisaient qu'un... Étonnant, non ? Amnésique et passé sur le billard d'un chirurgien taré, le Révérend, Valentin Boxer se cherchait lui-même. Il trouva le moyen de se faire enlever une seconde fois et m'obliger à fouiner encore... Avec ça revinrent me hanter quelques figures éparses, mon ex-flic de père, un amour perdu, mon meilleur ami, une tumeur au cerveau et un indic chauve. La routine. De méandre en méandre - admirez l'ambition littéraire - l'affaire de Gina Boxer m'amena encore plus loin, jusqu'à la clinique privée du Révérend, perdue dans les montagnes neigeuses pour un final rocambolesque riche en surprises mais n'ayant de définitif que son incomplétude. Eh ouais. Au lieu de boucler l'enquête, cette visite me plongea surtout dans un nouveau sac de noeuds, apte à vous réjouir et à vous faire raquer pour le tome deux, mes loulous. C'est pas comme si la vie était discount ou mon loyer gratos.
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Deuxième épisode de la série « Stan Kurtz ». Les relations entre le détective et son père s'affinent. Les affaires roulent mais il y a quand même cette accusation de meurtre. Et pas n'importe lequel... Si Marc Falvo était un taliban, ce serait sûrement le pire de tous. Coup de bol, il est écrivain. Tant mieux pour nous, pauvres pêcheurs.
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Depuis que mon père est dans le coma, j'ai rouvert la porte à mes démons et ces enflures ont fait un double des clés. Mais c'est pas le pire, vu qu'à l'instant où je vous cause je vais étaler ma belle tronche sur un parvis d'église. Flashback.
Une semaine plus tôt, Klugman m'assigne une affaire, des gens bouffés en pleine rue par d'autres gens. Je traque cette meute lâchée en ville avant de croiser la route d'un reporter encore plus décati que moi, qui se révélera crucial.
Sinon, le rapport avec ce foutu parvis ? Qui lira verra, mes loulous.
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Il fut dans le soleil. La falaise existait bien, abrupte. Face au vide, il chuchota... jusqu'à perdre pied. Disparition d'un écrivain culte, immensité sauvage des Pyrénées Orientales... le détective Lucas Sieffert fait son entrée littéraire d'une manière aussi efficace que mystérieuse.
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Depuis que mon père est dans le coma, j'ai rouvert la porte à mes démons et ces enflures ont fait un double des clés. Mais c'est pas le pire, vu qu'à l'instant où je vous cause je vais étaler ma belle tronche sur un parvis d'église. Flashback... Une semaine plus tôt, Klugman m'assigne une affaire, des gens bouffés en pleine rue par d'autres gens. Je traque cette meute lâchée en ville avant de croiser la route d'un reporter encore plus décati que moi, qui se révélera crucial. Sinon, le rapport avec ce foutu parvis ? Qui lira verra, mes loulous...
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Et une planque en forêt, dans une auberge abandonnée livrée aux fureurs de Mère Nature, n'en fait pas partie. Des monstres tentaculaires voraces non plus.
Quant à la combinaison des deux, hum. Faut vraiment vous faire un dessin ?
Préparez-vous à une sacrée nuit de cauchemar, les loulous. Tendue, électrique et surtout pleine de surprises.
Des mauvaises, des très mauvaises...
... et des pires.
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Où j'en suis, déjà ?
Ah ouais, c'est le bordel chez les Kurtz. Pour changer.
Et ça s'arrangera pas avec ce nouvel (et dernier ?) opus, qui promet autant qu'un politicard en campagne. Sea, sex and sun, avec un énième retour du pater, les Boum et Bang agitant mon coeur blessé, quelques énigmes retorses puis un soupçon de pop music. Votre Infra-détective sous le feu des projos et celui des balles, avant un climax disons. Torride.
Pas de doute mes loulous, l'été sera chaud.
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Il y a d'abord André Genêt et ses élucubration, qui cherche ses chats, assiste au drame des voisins, et qui décide de découvrir qui est vraiment le tueur à l'obole, et qui était vraiment son jeune voisin...
Ensuite il y a le parcours, effrayant et atypique, du jeune Julien Moros. Celui que la Mort n'a jamais cessé d'obséder.
Il y a enfin cette enquête, celle d'un journaliste local, Damien Delcour, qui reçoit une lettre anonyme lui disant que le tueur à l'obole n'était pas cet homme, retrouvé mort dans le jardin des Moros.
Un rythme lent, des pierres qui se mettent doucement en place pour un final insoupçonnable. Un roman noir brillant et intelligent.
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Londres, 1893.
Le malheur s'abat sur le couple respectable Anderson.
L'enquêteur infirme Henry Wilkes et son jeune bras droit font face à leurs passés respectifs...
Et des bombes explosent... déchiquetant des corps...
Après l'excellent « Soul Of London », Gaëlle Perrin-Guillet nous permet de retrouver cette ambiance unique et ténébreuse dont elle seule semble avoir le secret.
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Le cadavre d'un homme est découvert à Paris dans une voiture diplomatique. Le corps dénudé présente une plaie béante au niveau de l'estomac. À ses côtés, une statuette aux allures de momie égyptienne. Entre ses cuisses, une plume d'autruche blanche. La victime est membre du personnel de l'ambassade du Baoulanti. Meurtre rituel ? Règlement de comptes ? L'affaire est des plus délicates. La juge confie l'enquête à la commissaire Nathalie Vincenti, qui devra travailler dans la plus grande discrétion et tenir à tout prix la presse à l'écart.
Jim Santiago, pigiste pour des quotidiens gratuits, est contacté par un mystérieux correspondant se faisant appeler Imhotep. Ce dernier lui offre de retrouver sa place perdue de grand reporter, à condition qu'il accepte d'enquêter sur ce premier meurtre à l'apparence rituelle.
Tout oppose les intérêts et les motivations du journaliste et ceux de la commissaire. Le premier doit découvrir et révéler les mobiles du tueur. La seconde a ordre d'éviter à tout prix le scandale.
Dès lors, une partie de bluff s'engage entre les deux enquêteurs. Mais très vite, ils vont devoir se rendre à l'évidence. C'est Imhotep qui dicte les règles. Celle d'un jeu où chaque nouvelle victime est une étape de plus vers la découverte de la vérité.
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Lucca Palavèse, commissaire de police constamment obsédé par le meurtre de sa femme, est prévenu de la découverte d'un cadavre en Haute-Marne. On attribue ce nouveau crime à un tueur en série surnommé « l'écraseur ». Comme pour ses précédentes victimes, la tête n'est plus qu'une bouillie informe. Un morceau de peau a été prélevé au couteau et la fille a été sauvagement violée.
Depuis plusieurs années, Chif tire les ficelles de ce monstre qu'il pense avoir fabriqué. Faute d'avoir raté son élimination, il a maintenant le devoir de le nourrir.
Pour Palavèse errant entre le présent et le passé, comme pour Chif partagé entre le bien et le mal, le temps s'arrêtera-t-il ?
Gérard Sévin entre dans la cour des grands avec ce polar de haute volée, tendu et angoissant.