Metailie
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Cronopios ; portraits d'écrivains argentins
Daniel Mordzinski
- Metailie
- Bibliotheque Hispano-americaine
- 20 Mars 2014
- 9782864249481
Les « Cronopios » sont des personnages tout droit sortis de l'imagination de Julio Cortázar, définis comme des créatures idéalistes, sensibles et ingénues. En choisissant comme titre de son livre le nom des personnages les plus libres et fantaisistes de Julio Cortázar, le photographe Daniel Mordzinski rend hommage au grand auteur, né il y a 100 ans, tout autant qu'à la créativité des écrivains de son pays.
Le livre regroupe des auteurs phare qui ont disparu et dont le photographe avait fait le portrait tout au long de ses 35 ans de carrière et les écrivains qui font actuellement la vie littéraire très riche de ce pays.
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Un doute et une certitude. textes rares et inédits
Luis Sepúlveda, Daniel Mordzinski
- Metailie
- 14 Octobre 2022
- 9791022612234
Après la mort de Luis Sepúlveda, son ami fraternel Daniel Mordzinski a voulu montrer Luis et son monde tel qu'il était. Il a donc organisé un « autoportrait littéraire » de l'écrivain à travers des textes inédits ou oubliés qu'accompagnent des photos qu'il a prises pendant 23 ans.
Il nous donne à voir l'ami, le père de six enfants, le voyageur, l'utopiste, l'homme engagé, l'écrivain au travail et le poète. -
Dernières nouvelles du Sud
Luis Sepúlveda, Daniel Mordzinski
- Metailie
- Bibliotheque Hispano-americaine
- 21 Mai 2012
- 9782864248620
" Nous sommes partis un jour vers le sud du monde pour voir ce qu'on allait y trouver. Notre itinéraire était très simple : pour des raisons de logistique, le voyage commençait à San Carlos de Bariloche puis, à partir du 42e Parallèle, nous descendions jusqu'au Cap Horn, toujours en territoire argentin, et revenions par la Patagonie chilienne jusqu'à la grande île de Chiloé, soit quatre mille cinq cents kilomètres environ. Mais, tout ce que nous avons vu, entendu, senti, mangé et bu à partir du moment où nous nous sommes mis en route, nous a fait comprendre qu'au bout d'un mois nous aurions tout juste parcouru une centaine de kilomètres.
Sur chacune des histoires passe sans doute le souffle des choses inexorablement perdues, cet " inventaire des pertes " dont parlait Osvaldo Soriano, coût impitoyable de notre époque. Pendant que nous étions sur la route, sans but précis, sans limite de temps, sans boussole et sans tricheries, cette formidable mécanique de la vie qui permet toujours de retrouver les siens nous a amenés à rencontrer beaucoup de ces " barbares " dont parle Konstantinos Kavafis.
Quelques semaines après notre retour en Europe, mon socio, mon associé, m'a remis un dossier bourré de superbes photos tirées en format de travail et on n'a plus parlé du livre.
Drôles d'animaux que les livres. Celui-ci a décidé de sa forme finale il y a quatre ans : nous volions au-dessus du détroit de Magellan dans un fragile coucou ballotté par le vent, le pilote pestait contre les nuages qui l'empêchaient de voir où diable se trouvait la piste d'atterrissage et les points cardinaux étaient une référence absurde, c'est alors que mon socio m'a signalé qu'il y avait, là en bas, quelques-unes des histoires et des photos qui nous manquaient. " avant-propos du livre, Luis Sepúlveda
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200 portraits d'écrivains latino-américains, espagnols et français, accompagnés
de textes originaux : M. Vargas Llosa, Borges, Bioy-Casares, Coloane,
Sepúlveda, Volpi, Michon... Par un grand photographe argentin vivant en France,
correspondant à Paris du journal El País. Expositions en France à partir du 13
avril 2010.